• Il y a les "bonjour", les jours blanc...
    Et puis les jours noir, les "jours sans"...
    Enfin les jours gris...
    Ceux que l'on oublie...
    Naître souvenir...
    N'être qu'un soupir...
    J'existe en étant souvenir, noir ou blanc...
    S'il te plaît, pas un gris, je m'en défends...
    Je ne veux pas mourir dans ta mémoire...
    Il s'entend que je vis dans cet espoir...
    Chaque jour passant ce funeste destin...
    Semble moins proche qu'il ne sera demain...

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  • Il fut un vent bien avant ces airs (pour Jane ;p)...
    Où les soupirs se faisaient sourds...
    Quand les nuages devenaient lourds...
    Naquit une genèse enfouie sous terre...

    Peut-être est-ce celle que tu porteras...
    Au fil des jours, des semaines, des mois...
    Celle que tu n'oses imaginer des fois...
    Peu importe ce qu'elle sera, tu l'aimeras...

    A tes côtés, tel le cerbère, je veillerai...
    Te dévorer des yeux et y voir le secret...
    S'épanouir, d'instant en instant s'élever...
    Parce qu'il est toi et moi, je l'aimerai...

    Et lorsqu'enfin évanouit le secret fut...
    Que la lumière se fit sur son contenu...
    Il n'y eut nul autre bonheur vivant...
    Que celui de devenir parents...


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  • Il n'existe aucune voix...
    Qui ne s'élève contre ça...
    Je préfère ne pas les voir...
    Courir la vie sans le savoir...

    Personne n'apparaît...
    Un rien nous déplaît...
    Je prends sur moi...
    Suivant tes choix...

    Les chats qui mordent...
    S'il pleut des cordes...
    Nous en jouerons...
    Bref, nous verrons...

    Saperlipopette...
    Je ne perds la tête...
    Ne voulant que ça casse...
    Avec ma dame qui ramasse...

    Paris en bouteille...
    Pays des merveilles...
    La neige ne tombe...
    Pas d'hécatombe...

    Futur de Septembre...
    Ton joli jeu de jambes...
    Courrons mon amour...
    Un rien de sport par jour...

    Les efforts conssentis...
    Un instant évanouis...
    Sur tes lèvres si douces...
    En un sourire...


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  • Pardonnez Mademoiselle, si vous me permettez l'audace
    J'aimerai vous compter certaines de mes angoisses
    Lorsque, songeur, vous m'apparaissiez l'autre nuit
    Votre corps exposé, moi contemplant celui-ci...

    Je tendais frèlement la main, désirant vous toucher
    D'un signe de tête, vous m'empèchiez d'approcher
    Vous dénudant sans cesse à m'en faire perdre la vue
    Me montrant tour à tour vos yeux, vos seins, votre cul...

    L'envie folle de vous prendre me fit courir vers vous
    Mais l'image disparut et l'obscurité se fit partout
    Dans mon lit douillet, point de présence à mes côtés
    Même votre si doux parfum avait fuit mon nez...

    Acceptez donc, je vous en prie, prenez donc ma main
    Allons dans ma chambre si vous le voulez bien
    Je veux découvrir vos courbes sous mes doigts
    Les caresser tendrement jusqu'à les mettre en émoi...

    Vous faire frémir jusqu'à la pointe de vos tétons
    Vous emmener si loin sur les routes de la passion
    M'introduire entre vos cuisses avec délicatesse
    Que tous deux soyons dans un état de liesse...

    Chaque élan nous rapprochant plus du septième ciel
    Il n'y a que vous et moi pour pouvoir voler sans aile
    Et dans un dernier accoup, nous pouvons jouir ensemble
    Si fort que nos enveloppes charnelles en tremblent...


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  • J'ai perdu un boulon...
    Le sens de la raison...
    Le sens commun...
    Le sens unique, le bien...

    L'amour de la passion...
    L'impeccable perfection...
    Le clou de la panacée...
    Le gâteau cerisé...

    Pas de hasard et désertions...
    D'apparentes impressions...
    De surprises étonnantes...
    De preuves flagrantes...

    Mais quelques mots lancés...
    Intonnations enjouées...
    Voix des plus miéleuses...
    Bribes de phrase heureuse...

    Souffle encore la bise...
    Là où les alizées s'abîment...
    S'en est allé le vent...
    Et les mistrals gagnant...

    Avec le temps parti...
    Durant les insomnies...
    Passe donc la vie...
    Gobage de Flamby...

    J'étouffe de n'être plus, le moral est perdu...


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