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Mais voir un ami pleurer...
Décevoir un ami, trop d'eau dans la peinture...
Se retrouvant à ne plus savoir où est le pigment...
A l'aurore d'une relation pourtant saine et pure...
Le coeur en oraison, la vie tout simplement...
Il n'est pas décision qui lézarde les murs...
Sans une inclinaison, une promesse, un serment...
Mais quand vient l'heure de guérir les blessures...
Peu d'hommes sont capables de leurs sentiments...
Les choses sont fragiles et jamais ne durent...
Peut-être certaines résistent-elles au temps...
Et ces prémices de "nous", mon ami, j'en suis sûr...
Seront de celles qui défieront les ans...
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