On sonne chez la famille Dupont. Le père va ouvrir :
- Bonjour, c'est pour Emaus. Auriez vous quelque chose qui ne vous sert plus à nous donner ?
Le père se retourne et crit :
- Mamie, prépare ta valise on vient te chercher...

Bon,juste pour dire que je ne suis pas là quelques jours donc rien de nouveau jusqu'à mardi-mercredi ;)

Au ciel, depuis des siècles et des siècles, on a perdu la trace de Saint Joseph. On a cherché partout, on a fouillé tous les coins du paradis, rien. Et voilà qu'un jour l'ange qui s'occupe du purgatoire dit à saint Pierre :
- Vous savez, j'ai un drôle de client chez moi. Il est amnésique. Tout ce dont il se souvient, c'est qu'il était charpentier, qu'il a fait un enfant, un garçon, sans être vraiment le père, et que cet enfant serait célèbre dans le monde entier...
"Dieu soit loué ! se dit saint Pierre, on l'a retrouvé !"
Il va chercher le vieillard, le ramène dare-dare au paradis, et fonce prévenir Jésus. Le christ accourt, très ému, se précipite vers l'homme et s'exclame :
- Papa !
Alors le vieux, bouleversé, ouvre grands les bras en s'écriant :
- Pinocchio !

Un petit coucou à nos amis chinois qui représentent tout de même un bon cinquième de la population mondiale dasn cette blague pas vraiment de bon goût...

(L'histoire se passe dans les années 80)
La guerre entre l'URSS et la Chine vient d'éclater. Forts d'un armement beaucoup plus moderne et sophistiqué, les Soviétiques font un million de prisonniers la première semaine. Au bout de 15 jours,ils en ont plus de 4 millions. Au bout d'un mois, plus de quinze millions. Deux mois plus tard, cinquante millions.
C'est alors que Pékin envoie un message à Moscou :
"Faut-il continuer ou acceptez-vous de capituler tout de suite ?"

Un vieux corse se meurt dans son lit, au premier étage de la maison, pendant que ses trois fils attendent, en silence, dans la grande pièce du rez-de-chaussée. Sentant que la fin approche, il décide de régler les problèmes d'héritage et crie :
- Dominique ! Monte !
Le fils aîné grimpe quatre à quatre au chevet de son père, qui lui dit :
- Ecoute petit, je ne suis pas bien riche. Je n'ai que la maison, les garrigues et mes quelques chèvres. On ne peut pas couper ça en trois ! Alors, j'ai décidé de tout donner à celui qui symbolisera le mieux l'esprit corse, au plus paresseux des trois. Je vais faire un test. Suppose, petit, que tu sois sur la place du village. Tu n'as rien mangé depuis deux jours, et le marché est à cinquante mètres. Qu'est-ce que tu fais ?
- Papa, j'attends qu'on me porte à manger. Sinon, je meurs de faim !
- C'est bien, petit. Tu peux redescendre.
Il appelle son second fils :
- Antoine ! Monte !
L'autre rapplique dare-dare.
Après lui avoir expliqué qu'il léguera tout ce qu'il possède au plus paresseux de ses trois fils, il ajoute :
- Petit, je vais te faire passer un test, comme à ton frère. Tu es sur la place du village. Tu n'as pas bu depuis deux jours, et la fontaine, avec de l'eau bien fraîche, est à vingt mètres. Qu'est-ce qut tu fais ?
- Papa, j'attends qu'on m'apporte à boire. Sinon, je meurs de soif...
- C'est bien petit. Tu peux descendre.
Et là, il sent que ses dernières forceds l'abandonnent. Alors, dans un effort surhumain, il réussit à appeler son troisième fils.
- Doumé ! Monte !
Et d'en bas l'autre crie :
- Non, papa... Toi, descends !

Un petit coucou à nos amis belges,et j'en profite pour saluer tout le Périgord,région magnifique à visiter comme ça,mais pas à y vivre,croyez-en mon expérience...

Dans le Périgord, un touriste belge admire un champ de fraises et dit au paysan :
- Elles sont vraiment belles vos fraises ! Qu'est-ce que vous mettez dessus ?
- Bah ! Juste un peu de fumier...
- Ah, c'est pas comme chez nous ! Nous, en Belgique, on met du sucre...