Ca y est, la thérapie de Marshall est finie...
67 jours passés, et il vit de nouveau...
Merci à Ted de l'avoir soutenu...
Lorsque le téléphone se décrochait tout seul...
Que l'alcool lui était mauvais...
Que de l'état de Marshall il devenait loque...
Ted ne l'a jamais laissé tomber...
C'est ça un véritable ami...
Quand il racontera cette histoire à ses enfants...
Comme dans How I Met Your Mother...
Il n'oubliera pas de mentionner l'important rôle de Ted...
Mais cette fois, Lily ne reviendra pas...
Grand bien lui en prenne...

Comment dire...
ON A REFUSE MA DEMISSION !!!
Si c'est pas d'l'abus...
Bon ben tant pis...
J'reste...
De toutes façons, le salaire suit...
J'emmerde le monde du travail...
Vivement la retraite, à mater des pornos en buvant d'la Guinness...

Il est étrange de voir comment se déroulent les évènements...
De constater que mentir, pour certains, c'est plus évident...
Un amas infâme, pyramide de faux-semblant...
Alors qu'il est si facile d'être honnête, souvent...
On fait comme si de rien n'était, on joue la comédie...
Parfois même on se retrouve dans nos tragédies...
Mais rien n'est différent, dans le fond, on reste les mêmes...
Dans le dos le passé, devant l'avenir, et en main des chrysanthèmes...
Et on se ralentit, alors que d'autres nous auraient fait hâter le pas...
Comme si on préférait continuer de se donner soucis et tracas...
"Aux adieux qui souvent se passent un peu trop bien"...
Quand il n'y a pas d'adieux, ne croyez pas qu'il ne se passe rien...
Sans explications saines, il n'y a pas d'évolution...
L'esprit ne rejette rien, et on repart sur des complications...
D'où l'importance de la franchise, car il faut souffrir...

JC ou comment s'énerver pour rien le matin...
Avec la déconstruction de la tour d'en face...
J'ai pu apercevoir le ciel bleu tout l'été...
Même si dans ma tête c'était plutôt tempête de neige...
Maintenant qu'on s'approche de l'hiver...
Que la neige est juste à côté...
Le soleil a baissé dans le ciel...
Et m'arrive en pleine tronche pendant une heure et demie le matin...
Et ça m'énerve...
Comme quoi, je suis un éternel perturbé...

Pour la paix intérieure, messieurs-dames les bouddhistes, vous repasserez...

L'infiniment faible à peine retenu
Sans jamais craindre d'être mise à nu
S'offrant aux regards des "m'as-tu vu"
A loisir, en un spectacle imprévu...

Ses élégantes jambes dévoilées ainsi
Retinrent l'attention de ces ahuris
Tombant sous le charme de celles-ci
Plus que captivés lorsqu'elle s'assit...

Sa jupe remontée par une telle posture
Nourrit leurs fantasmes au fur et à mesure
S'imaginant conduire une telle monture
La menant au trot puis à toute allure...

Ses courbes parfaites dessinées par les Dieux
Sa chute de rein, dénivelé vertigineux
Les fit un à un en tomber amoureux
Oubliant le métro et ce matin pluvieux...

Quelques légers courants d'air lui donnaient froid
Car, sous sa veste, ses seins poitaient déjà
Cette vision les mettait dans un tel état
Que certains en bavaient ou bandaient même parfois

Leurs yeux se délectant de ses moindres atouts
Remontèrent lentement au niveau de son cou
Se demandant quel pouvait bien être son goût
Lorsqu'on y dépose quelques baisers doux...

Dès lors qu'elle se leva pour quitter la rame
Que de sa présence il ne resta plus que l'âme
Les coeurs des marmots envahit par sa flamme
Furent engloutis et jouèrent quelques drames...

Ô toi la belle qui les fit tant rêver
Reste donc ainsi, avec ton air détaché
La plus jolie chose que le monde ait créé
Laissant le commun des mortels bouche-bée...